A mon arrivée en Égypte, mon premier but n’était pas de voir les pyramides, ni de profiter de la vie cosmopolite de la grande cité du Caire, mais bien de me retrouver dans la solitude et l’isolation du désert de Lybie. Je m’y suis donc dirigé dès ma sortie de l’aéroport.
À la sortie du Caire, c’est le désert sans fin qui nous accueille. Direction l’oasis d’Al-Bahariya pour le début de l’aventure. C’est un petit chemin isolé passant au travers les dunes qui nous y mène.
Avec le petit Mohamed, après avoir échappé à la chaotique circulation du Caire. Celui-ci, un bédouin du désert qui devait me servir de guide, à néanmoins dû demander son chemin pour sortir de la cité…
Arrivé à l’oasis avec dans le lointain la ville d’El-Bawiti, la première étape de mon odyssée qui devait me mener à traverser le désert de l’ouest.
Avec mon nouveau guide Mr. Fox, profitant de l’hospitalité bédouine dans sa maison et d’un repas à la mode traditionnelle.
Avec le frère de Mr. Fox et c’est deux charmantes petites filles. Remarquez le vêtement traditionnel de Monsieur et la tâche sur son front, appelée la marque de la prière due au frottement de la tête contre le tapis lors des cinq prières rituelles quotidiennes. Cette marque le défini comme un croyant des plus pieux.
Le Bashmo Lodge petit hôtel de Bawiti typiquement africain avec des toits de branchages et des murs de crépit. Mais, heureusement il y avait l’électricité et la douche.
Dans les ruines du temple de Qasr El-Méguisbeh construit par Alexandre le Grand lors de son passage dans l’oasis, il y a près de 2300 ans.
La montagne des Anglais, nommée ainsi parce que l’armée britannique avait établi un poste d’observation à son sommet, lors de la Première Guerre mondiale.
Suite à l’escalade de la montagne, nous voici arrivée dans les ruines de l’ancien poste d’observation militaire. Portant fièrement le keffieh pour me protéger du soleil du désert dans la digne tradition de la mode bédouine.
Lors de mon départ de l’oasis faisant mes adieux au petit Mohamed, avec derrière la fameuse jeep de Mr. Fox ; celle qu’il voulait me louer lors de ma traversée du désert, pour quelques centaines de dollars de plus. La choukrane (non merci !)
Fasciné par le décor typique du désert blanc…
Route isolée traversant le Sahara Suda (le désert noir). La teinte sombre du sable étant due aux coulées de lave d’un volcan ayant fait éruption, il y a de ça plusieurs millions d’années.
Prenant un café en compagnie de mon nouvel ami dans la petite ville d’Al-Farafra.
Arrivé à l’oasis de Dakhla, devant les bidonvilles de la cité d’El-Qasr ; on dirait la maison de paille d’un des trois petits cochons…
Vielle cité médiévale d’Al-Qasr, dont une partie n’est composée que de ruines abandonnées…